Monsieur Couderc, arbitre des élégances ?
On savait qu'il se voulait seul défenseur du patrimoine face aux "vandales". Voilà que Monsieur Couderc, Président de l'association La Mirande, s'érige en arbitre des élégances au sujet de la
gare...
Qu'importe que ce projet ait passé avec succès les (nombreuses) barrières des autorisations. Qu'importe que le projet ne soit pas fini (non, la billeterie en parpaings ne va pas rester comme ça
!). Le projet n'a pas l'heur de plaire à M. Couderc qui tire avec facilité et à boulets rouges sur tout ce qui est nouveau, sur tout ce qui n'a pas été décidé... par lui, selon ses goûts
personnels.
Idem pour l'Ermitage où M. Couderc fait semblant d'oublier que c'est lui et son équipe municipale qui ont fait acheter des terrains par l'Office HLM (pour en faire une réserve archéologique sans
doute ?!).
La vérité, c'est que M. Couderc est un authentique, un indécrottable conservateur, doublé d'un amnésique partiel. Nul doute qu'il a du détester la pyramide du Louvre, les colonnes de Buren ou le
Musée Gugenheim. Pour M. Couderc, le temps s'est arrêté il y a longtemps (à quelle date au juste ?). Faut-il pour autant élever la nostalgie au rang de doctrine politique ? Pas sûr... Au fait,
durant le temps où il fut "aux affaires", quel fut le bilan de M. Couderc ?